Un goût d’enfance, entre potager et cuisine familiale
Je m’appelle Benoît Marceau, et si vous êtes arrivé jusqu’ici, c’est sans doute que vous aimez prendre le temps. Le temps de lire, de découvrir… et peut-être aussi de bien manger.
Je suis né en 1977 à Albi, au cœur du Tarn, dans une famille de paysans-cuisiniers. On y vivait simplement, mais avec goût. L’odeur de la soupe qui mijote, le parfum des tomates du jardin, le bruit du couteau sur la planche — ce sont mes premières madeleines.
Des grandes maisons à l’appel du terroir
Après un passage par l’école Ferrandi à Paris, j’ai fait mes classes dans quelques belles maisons : chez Guy Savoy, Michel Bras, puis Anne-Sophie Pic. De cette époque, j’ai gardé le souci du détail, l’exigence des gestes justes… mais l’envie de retourner au terroir ne m’a jamais quitté.
La naissance de La Fine Fourchette
C’est en 2009 que j’ai posé mes valises à Laroque-Saint-Maurin, un petit village entre Montauban et Cahors, pour ouvrir La Fine Fourchette dans une ancienne bâtisse en pierres blondes.
Ici, je cuisine avec les saisons, les producteurs locaux, et toujours la même idée en tête : sublimer la simplicité.
Depuis plus de dix ans, le restaurant vit au rythme des produits du moment, des histoires qu’on partage autour d’une assiette, et des rencontres. Chaque service est pour moi une nouvelle occasion de transmettre, d’émouvoir, et de faire voyager sans quitter la table.
Un lieu vivant, bien au-delà de l’assiette
Au fil du temps, La Fine Fourchette est devenue bien plus qu’un restaurant : c’est un lieu de vie, un espace d’échanges, une maison ouverte.
Ce site est né de cette envie de prolonger ce lien. Un carnet ouvert où je partage mes recettes, mes souvenirs, mes idées. On y parle bien sûr de cuisine — mais aussi de maison, de rénovation, de voyages, de produits du terroir… de tout ce qui donne du goût à la vie.
Transmettre, encore et toujours
Alors installez-vous. Servez-vous un verre. Et laissez-vous guider.
La Fine Fourchette vous accueille avec la même passion qu’au premier jour — et ce site est là pour continuer la conversation, même après le dessert.
À bientôt dans mes pages,
Benoît Marceau